Vendredi 15 février 2019
L’écopsychologie
est née pour faire le lien entre les sciences écologiques et les
sciences humaines. Son objet est l’étude de ce qui est perçu, vécu,
imaginé, pensé et agi dans l’inter-relation entre l’homme et
l’environnement.
Pour l’écopsychologie, le bien-être psychique et la « santé de l’habitat » vont ensemble. Ce qui signifie :
- que, si notre environnement est pollué et en grande partie détruit, nous nous en trouvons forcément affectés dans notre vie psychique
- que, si la terre est malade, c’est parce que nous-mêmes sommes malades. Autrement dit, la nature extérieure est maltraitée à la mesure de la maltraitance que nous avons envers nous-mêmes, quand nous étouffons des pans entiers de notre nature intérieure (sensibilité, imaginaire, intuition, poésie, élans créatifs…)
La vie sauvage, et la femme sauvage
sont toutes deux des espèces en
danger.
Au fil du temps nous avons vu la nature instinctive féminine
saccagée (…).
On l’a malmenée, au même titre que la faune, la flore et
les terres sauvages !
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