samedi 24 février 2018

Grand rêve : Le Saint "Je"

Samedi 24 février 2018
 



Je suis en train de dormir dans la chambre d'une petite maison que j'ai,
qui est le lieu de mon cabinet de thérapeute, et je suis réveillé par un ami,
 qui est en même temps un guide spirituel avec lequel j'ai travaillé...
Il veut fermer les persiennes de ma chambre par bienveillance pour me laisser dormir
car il y a des travaux dans le jardin, sur lequel donne la chambre.
Mais, en les fermant, il me réveille.
Donc je me réveille et je reconnais des gens que j'aime,
 rien que des hommes.
 Cet ami, un autre homme, blond aux cheveux longs,
le visage un peu angélique, d'autres...

Je salue mon ami, mais je ne suis pas naturel, j'en fais trop,
 je ne suis pas moi-même...comme si j'avais des choses à prouver.
 Je m'en aperçois tout de suite et cela me calme, me fat du bien.
Je le suis vers les travaux dans le jardin et il me montre
 qu'il s'agit d'une grande œuvre qui consiste à creuser un trou
 qui descend vers les profondeurs de la terre,
 comme si c'était un challenge, un but qu'ils se sont donné, 
 auquel je m'associe. Ils ont bien avancé les travaux.
Il y a une galerie qui descend comme un escalier en colimaçon,
avec des marches solides. C'est un beau travail.


 

Au départ, dans le jardin, il y a une construction carrée en briques
par-dessus le trou.
Je commence à descendre et, tout en descendant,
je me demande où cela va aller,
car cela ne me semble pas avoir de fin.
En même temps,
je comprends la dimension spirituelle de cette œuvre
et je trouve cela fabuleux.

Je remarque tout le travail que cela a représenté
pour faire les marches et pour étayer.
A un certain niveau de profondeur,
ils ont découvert les ruines d'une cité très ancienne,
 très bien conservée, dans une très vaste grotte.
Il y a des tours, des maisons, beaucoup d'objets anciens.
 
Des gens sont là qui ramassent les objets dans des sacs pour faire des affaires...
Certains me montrent que le moindre objet se vend six cent francs.
Un homme me montre son étalage avec plein d'objets en vitrines,
 tous à six cent francs.
 
 Je vois des gens qui ramassent ces objets
pour gagner le plus d'argent possible.
Cela ne m'intéresse pas du tout.
Par contre, je trouve par terre un singe en peluche
qui fait de la musique quand on le secoue,
une musique extraordinaire, cristalline, angélique.
Je suis très content de l'avoir trouvé et cela me suffit.




Puis je remonte dans la barque en brique carrée. Elle est assez grande.
On discute de sa construction : il semble qu'elle soit humide et cela m'étonne.
Je regarde à l'extérieur, et, en fait, elle est construite sous une croûte terrestre fine.
 A ce moment du rêve, la baraque qui était extérieure au début
se trouve donc sous une couche de terre, arrondie comme une colline.
 
 J'ai envie de monter dessus. C'est comme si c'était une pelouse.
 C'est un peu difficile de me hisser mais j'y arrive.
Au début, c'est de l'herbe,
puis c'est une grande et belle terrasse de carreaux jaunes,
un peu en pente pour que l'eau s'écoule bien,
et je me promène dessus. Le paysage est magnifique.
.

Rêve extrait du livre
"Le Sel des rêves"
de Pierre Trigano
.



 
 
 

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