Je suis dans la nature, en pleine campagne...
Je me mets à l'horizontale
et j'avance à toute vitesse, en "vol plané".
Je passe partout, à basse altitude, au-dessus des champs verdoyants,
frôlant les hautes herbes et survolant même les jardins...
C'est vraiment grisant...
Je veux montrer à quelqu'un comment on fait...
j'ai envie de partager ce plaisir intense.
Puis je recommence , mais je "décolle" à la verticale, cette fois.
Extraordinaire sentiment de liberté.
C'est "magique".
C'est "magique".
Je fais de longues escapades ainsi, en volant "debout"...
J'ai la sensation d'un "coussin d'air" sous les pieds
et je peux diriger mon vol comme je le souhaite
en appuyant plus ou moins... sur l'air.
(comme quand on skie)
Je maîtrise très bien la technique.
Dans le ciel (je suis maintenant dans un paysage de montagnes),
j'aperçois d'autres silhouettes en train de faire la même chose...
Puis je reviens en ville, toujours en volant,
en allant très vite, près du sol, juste au-dessus des trottoirs...
Ensuite, il y a une scène plus mouvementée :
je continue de voler,
et je passe ainsi "au-dessus" des escaliers
d'une grande maison,
ce qui me permet de monter très vite les étages.
d'une grande maison,
ce qui me permet de monter très vite les étages.
Dans cette maison (ou plutôt dans cet immeuble),
il y a tout à coup beaucoup d'agitation.
il y a tout à coup beaucoup d'agitation.
Des policiers arrivent ?
Je me réfugie tout en haut de l'immeuble.
En bas, on dirait que quelqu'un a "mis le feu"...
(à une voiture ? ou à des "caisses"?)
Il y a des blessés ? Un mort ? Je ne sais pas.
Je vois ensuite quelqu'un qui saisit
une sorte de caisse ou de cagette,
et en la retournant, il voit dessous, sur un carton,
quelque chose d'écrit à la main...
une sorte de "mot griffonné" ou de "message"...
Est-ce que ces quelques mots manuscrits
vont permettre de trouver le "coupable" ?
Puis il y a encore des scènes de "vol",
pendant lesquelles je vole avec aisance.
Je me sens très très bien.
J'éprouve un sentiment très agréable.
Et j'ai vraiment l'impression que c'est la réalité.
Je ne me sens pas du tout dans un rêve.
Les détails sont précis, les décors familiers.
Je ressens le souffle d'air sur ma peau...
C'est très proche d'un "rêve lucide".
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Rêve de La Licorne
4 août 2017
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Bonjour la Licorne,
RépondreSupprimerL’intervention des forces de l’Ordre Intérieur, des représentants de la Loi Interne de l’être, semble indiquer très nettement qu’un désordre intérieur est présent, créé par "une mise à feu hors la loi interne" qui concernerait le "véhicule", la voiture, la "caisse", qui évoquerait la façon de "se" conduire, un mouvement intérieur en surchauffe…? Qui est le/la coupable de cette mise à feu qui ne respecte pas la Loi Interne de l’être, qui outrepasse cette Loi ?
Quel rapport pourrait-on voir entre cette mise à feu et les précédents articles successifs, parus sur ce blog, qui parlent de rêves lucides et d’apprendre à voler… ?
Il n’est pas bon de s’efforcer de monter, demeurer en bas : grande fortune, l’oiseau doit demeurer en bas, sur la terre où est son nid, dit l’hexagramme 62 du Yi King, La Prépondérance du Petit : http://wengu.tartarie.com/wg/wengu.php?no=62&l=Yijing&lang=fr
Amezeg
Oui, les policiers peuvent représenter les représentants de la "loi interne de l'être"...et le feu mis à une voiture pourrait se rapporter à une façon de "se conduire"...
SupprimerMais, là où je ne te suis plus, c'est quand tu fais un rapport entre ce "feu" et les articles précédents...
Je n'ai pas essayé de "voler trop haut", je n'ai pas essayé non plus d'avoir des rêves lucides...ou de forcer la lucidité dans mes rêves...
Je n'ai fait aucune tentative dans ce sens...
Ce qui s'est passé, c'est l'inverse :
j'ai fait ce rêve le 4 août et c'est en me penchant sur ce que j'avais ressenti à l'intérieur de ce rêve (une impression très forte de "réalité") que je me suis, ensuite, intéressée de près à ce qui pouvait s'y rapporter, et que j'ai publié, quelques jours après avoir eu cette expérience particulière en rêve, cette série d'articles sur les rêves lucides... :-)
...mais comme toi, je me demande "qui est le/la coupable de cette "mise à feu" qui ne respecte pas la Loi interne ?
SupprimerLa réponse est sous le carton...;-)
Quelques associations qui me viennent à l'instant :
SupprimerLes "caisses" ainsi que les "voitures" m'évoquent -c'est une association personnelle- toutes deux ...une notion d'enfermement.
Dans une voiture, on est "coupé" de l'extérieur : on ne ressent pas l'air, les odeurs...etc, comme quand on marche, qu'on fait du vélo...ou qu'on "vole" !
Et puis on appelle souvent, en langage familier, la voiture, une "caisse"...
La citation qui me vient immédiatement à l'esprit, en disant cela, c'est la fameuse tirade de Pierre Rabhi sur le monde moderne :
"Quand je me suis amusé à refaire l’itinéraire de l’être humain dans la modernité, je me suis aperçu que notre monde avait des allures carcérales. De la maternelle à l’université, on est enfermé (on appelle cela le « bahut » d’ailleurs), ensuite on est dans des casernes, puis tout le monde travaille et vit dans des « boîtes » plus ou moins petites ; pour s’amuser, on va en boîte et on y va dans sa « caisse » ; « enfin, on rentre dans une boîte à vieux et on retrouve la dernière boîte que je vous laisse deviner !"
"Brûler une voiture" (ce qui se fait dans banlieues "chaudes") est aussi - dans ma façon de voir- un acte de "révolte" , de colère contre ce monde "injuste"...
Sans doute y a-t-il quelque chose de cela dans mon rêve : refus des "caisses", "sortir des boîtes", se libérer (mentalement ou spirituellement), voler là où l'on veut...amène les "forces de l'ordre" à se manifester...et à rechercher le "coupable"...celui qui n'est pas "conforme"...
Et comment retrouver celui qui a "brûlé" les boîtes ?(retrouver la partie de moi qui veut briser l'enfermement et qui le fait par le "feu" -la colère ?)
Par "ce qui est écrit"...
Or, il est vrai que l'écriture joue un grand rôle dans cette "libération"...
Voilà ce qui me vient pour l'instant...
Mais il peut y avoir d'autres sens et d'autres interprétations, bien sûr...
Pourquoi pas… ???
SupprimerJe faisais, moi aussi, l’association entre voiture et "caisse", comme tu l’as peut-être remarqué plus haut dans mon commentaire.
Alors, je me laisse aller à soumettre à ta réflexion sagace une hypothèse nouvelle :
On parle assez souvent de suivre "la voie des rêves", chaque rêve pourrait donc également être envisagé comme un véhicule qui nous emmène et nous fait progresser sur cette voie des rêves.
Dans ce cas, mettre le feu dans le véhicule, dans la "caisse", serait mettre le feu dans le rêve, en termes alchimiques ce serait surchauffer le vase où se fait la cuisson des matières à transformer. Cuisson de l’alchimiste lui/elle-même, à vrai dire.
Ceci au risque de faire exploser ou faire fondre le vase et de faire échouer les opérations alchimiques en cours.
Amezeg
Oui, on faisait la même association...:-)
SupprimerCe que tu proposes, c'est une caisse-athanor, qui s'emballerait et surchaufferait ?
Pourquoi pas ?
Ce que je me dis d'abord, en examinant un rêve...c'est :
quelle impression générale, j'en retire ? Sur quel sentiment je reste à la fin du rêve ?
Dans celui-là, j'étais presque tout le temps "heureuse"...bien...épanouie..."libérée" en quelque sorte de la "pesanteur" des choses (et Dieu sait si elles ont été pesantes, parfois, ces derniers mois...j'ai eu pas mal de soucis - de santé surtout).
Même l'épisode du milieu ne m'a pas ôté ce sentiment.
Je n'ai pas eu "peur"...je n'ai pas été effrayée (ou peut-être quelques secondes, par les "policiers" qui arrivent).
le "feu" n'était pas dévastateur ou explosif...il était juste comme "quelque chose qui a eu lieu et qui a fait venir la police". Je ne vois pas le feu dans le rêve, je pressens juste qu'il en est ainsi (peut-être par les conversations autour de moi, je ne sais plus trop).
Et puis, pour faire "chauffer" l'athanor, il faudrait que je sois dans une période où j'"exagère" du côté de la "cuisson intérieure"...
Franchement, je peux te dire que ce n'est pas le cas actuellement.
Parfois je publie beaucoup d'articles de suite...et ça peut donner l'impression d'une "surchauffe", mais ce n'est pas comme ça que je le vis intérieurement, car, ici, je publie presque toujours des choses sur lesquelles je réfléchis depuis des années et des années...alors, ça "coule" naturellement, je ne fais pas d'effort particulier...
Je me suis effectivement repenchée sérieusement sur mes rêves fin juillet et début août, mais, sans excès, j'en ai juste choisi deux ou trois à étudier de plus près...et je n'y ai pas passé trop de temps...
Par contre, j'ai réussi à "laisser mes soucis de côté" à partir de fin juillet (vacances)...alors que j'étais "sous pression" depuis plusieurs mois (beaucoup de tensions au quotidien).
Je dirais donc que c'est plutôt une "libération" que j'ai vécu autour du 4 août...et non le contraire (surchauffe).
Mais tu fais bien de rappeler que le feu, dans le "fourneau intérieur", doit rester "doux et régulier", sous peine d'explosion...
Sur ce sujet, je conseille (à toi et à tous) ce très bon article :
http://merelle.net/accueil/billet13.php
Oui, je comprends que tu y voies une libération bienvenue (opportune) de la pesanteur des épreuves en ce monde que tu vivais intensément depuis un certain temps.
SupprimerJe me dis que, s’il n’y avait pas cette intervention des forces de l’ordre intérieur pour chercher le responsable du feu mis au véhicule ou à la caisse, ce rêve pourrait être compris comme un rêve de compensation par rapport à ces épreuves. Comme un rééquilibrage du ressenti de la vie.
Mais le rêve semble se composer de trois parties :
1 – La rêveuse jouit d’une apesanteur extraordinaire et "grisante" dans l’espace naturel, campagne ou montagnes.
2 – Le retour dans l’espace construit conscient révèle qu’un feu a été allumé qui semble ne pas être un feu allumé en accord avec l’Ordre intérieur, un feu en quelque sorte frauduleux. Et face à cette confrontation avec la Loi Intérieure, ou même en prévision de cette possible confrontation, la rêveuse, qui continue à "planer" dans cet espace conscient, "se réfugierait" dans la hauteur sommitale de l’espace construit/conscient. Le nom ou l’initiale du nom de l’auteur du feu figurerait peut-être sur un carton (ce qui me fait penser au carton jaune ou rouge que l’on attribue au joueur en faute sur un terrain de football).
3 – Ayant donc (peut-être) échappé à la confrontation avec les représentants de l’ordre intérieur, la rêveuse continue à naviguer "en apesanteur" et ne distingue plus cet état de l’état ordinaire de pesanteur, tant les impressions sont perçues comme semblables à celles vécues dans la réalité ordinaire. S’agit-il d’un élargissement "légitime" de la perception ou d’une illusion permise par la fuite vers le haut qui évite de se reconnaître responsable d’une "inflammation" de la perception… ???
Que suggère vraiment le rêve lorsqu’il montre que la situation appelle une intervention les forces de l’ordre... ???
Amezeg
Merci Amezeg pour cette "décomposition du rêve en trois parties", décomposition qui est éclairante, c'est vrai...
SupprimerJe te fais part de mes dernières réflexions...
Le "feu" me fait spontanément penser à des émotions exacerbées...et il y a aussi sans doute une notion d'urgence (on dit "y'a pas le feu", quand on et dans la situation inverse, mais là, "y'a le feu").
La voiture est en rapport avec la "conduite" (façon de se comporter ou d'avancer dans la vie )ou avec le corps (qui est un "véhicule" pour l'âme) et les caisses me font penser, à bien y réfléchir, à des caisses de...médicaments (je l'avais d'ailleurs noté -j'ai retrouvé la note- quand j'ai recopié mon rêve)
Le "feu" en question pourrait donc signaler une "urgence" au niveau santé, ce qui ne serait guère étonnant (beaucoup d'inquiétudes à ce niveau)...ou alors des émotions violentes (ce qui est aussi d'actualité, vu mes soucis familiaux).
Les policiers sont comme tu le dis, des "forces de l'ordre" (ou de l'Ordre intérieur) qui interviennent pour ramener l'Ordre intérieur et enquêter pour trouver le coupable (la cause ou la faute commise).
Quant au fait de voler, il peut être vu de deux façons : d'un côté, il permet de "prendre de l'élévation"...mais d'un autre côté, il est une manière de "survoler" les difficultés ou les problèmes sans s'y atteler vraiment...
Cela me frappe aussi dans le fait de "monter les escaliers sans les toucher" ce qui, évidemment, n'est pas tout à fait normal et reflète une façon de s'élever assez "artificielle" (sans les efforts qui accompagnent normalement la progression vers le haut).
Il y a donc dans ce rêve, c'est sûr , un appel à "quitter les hauteurs" (ou le mental) où je me suis "réfugiée" "et à "revenir sur terre" pour traiter certains problèmes urgents (feu en bas)...
Le feu peut aussi parler d'inflammation (or, j'ai -entre autres- une tendinite récidivante qui est une ...inflammation)
Il me semblait pourtant avoir eu "les pieds sur terre" pendant les quatre ou cinq derniers mois ( beaucoup de choses pratiques et quotidiennes réglées ) et avoir juste pris quelques jours de "vacances mentales", d'"accalmie" ...mais mon inconscient ne semble pas du même avis !
Il est possible aussi que je me sois tellement consacrée à mon travail et à la santé de mes proches pendant l'année passée, que j'en ai oublié de penser à la mienne ...
Ceci dit, depuis deux semaines, j'ai recommencé à m'en occuper...
Ah...et puis, au fait, quand je disais qu'il y avait une "lettre" sous la caisse en carton, ce n'était pas une "lettre de l'alphabet" (initiale) mais une lettre au sens de "message destiné à quelqu'un"...:-)
SupprimerTes dernières réflexions sont bien intéressantes. Associer le feu aux émotions ou/et aux problèmes de santé pourrait être très juste. Le rêve ne se rapporte peut-être, en effet, qu’à un court moment de ton vécu – ni à des semaines ni à des mois, encore moins à des années – pendant lequel, accablée par les soucis et les épreuves, tu aurais pris des petites vacances intérieures (les quelques jours de "vacances mentales", "d’accalmie" que tu évoques ci-dessus) avant le temps des vacances programmées au calendrier extérieur, quitte à t’éloigner un tant soit peu de la Loi et de l’Ordre qui président habituellement chez toi/en toi. Le rêve t’aurait-il alors montré que tu le faisais, ainsi que le risque que ce "décollage" te faisait prendre, afin de t’encourager à ramener à temps la barre vers le bon cap à tenir. Prise de conscience et retour au bon cap que tu aurais opérés peu après… ???
SupprimerAmezeg
Ah... bon ! C’était peut-être une lettre de mise-en-demeure d’éteindre le feu allumé indûment, libellée à l’adresse du pyromane…;-))
SupprimerDommage que je n'aie pas pu relever l'adresse, alors !
SupprimerMerci pour ton analyse...oui, c'est un peu ça...quoiqu'il soit possible que je sois "hors-la-loi" depuis plus longtemps, je ne sais pas...
C'est vrai que la période est difficile et tendue pour moi et que "l'évasion vers le haut" me tente (à tort ou à raison).
Je ne t'ai pas répondu de suite, car je "vis avec ce rêve" (comme dirait Jean ), en ce moment...et je me concentre sur ce qu'il me fait ressentir...
Tout comme je "vis avec" le précédent ("la petite fille aux yeux bleus"), qui m'a marquée aussi.
On verra plus tard sur quoi ça débouche...
Le rapport entre les deux me semble être le "retour sur terre" et l'affrontement courageux des problèmes intérieurs (blessure, feu...).
« Je me réfugie tout en haut de l'immeuble. »
RépondreSupprimerPar contraste avec la pleine campagne et les montagnes, la ville, puis le bâtiment construit, me semblent évoquer la personnalité consciente, le bâti, le construit de soi-même. Se réfugier tout en haut de l’immeuble pourrait évoquer l’idée de se réfugier dans "la tête", dans une conception trop intellectuelle, trop cérébrale, tandis qu’il y a le feu dans la maison !! … ?
« J'éprouve un sentiment très agréable.
Et j'ai vraiment l'impression que c'est la réalité. »
C’est peut-être l’un des grands pièges du cérébral, du mental, il parvient parfois à nous convaincre qu’il est plus vrai que vrai, qu’il est plus que ce qu’il est ! … ?
Amezeg
Bonjour Amezeg,
SupprimerOui...il y a quelque chose de cet ordre dans ce rêve, je l'avais vu aussi...
Bien que cette maison ne soit pas la mienne (c'est un immeuble que je ne connais pas...et je ne vis pas là)...il y a une tentative de "fuite" vers le haut.
Il y avait aussi un peu de ça dans le rêve précédent, quand j'étais "dans le ciel" (au-dessus des soucoupes volantes) et qu'ensuite, je retrouvais la terre ferme.
Je ne crois pas me tromper en disant, que, là, le "vol dans les airs" a plusieurs significations qui se chevauchent : c'est à la fois une "libération" (grand sentiment de liberté) et aussi, en partie, une "échappatoire" par rapport à ce qui se passe en bas, au niveau du "sol"...
Dans cette scène, le "feu" n'est pas dans la maison, il est à l'extérieur...(quelque chose brûle dans la rue) mais je ne vois pas, dans le rêve, de quoi il s'agit.
Quant au sentiment de "réalité", je ne crois pas que ce soit , comme tu le suggères, une "illusion du mental", je l'ai déjà perçue plusieurs fois, cette impression, dans d'autres rêves... et je sais la reconnaître...c'est très particulier et difficile à décrire...mais c'est quelque chose qui différencie nettement ce rêve des autres que je fais habituellement, une sorte de "précision inhabituelle dans les images" et de "participation de tous les sens" à ce qu'on est en train de vivre.
P-S : J'avais étudié "à fond" la signification du "vol" dans un ancien article :
Supprimerhttp://grandsreves1234.blogspot.fr/2014/12/voler-un-reve-typique.html
Tu peux t'y reporter, si tu veux.
Merci pour tes réponses à mes premières impressions et pour les précisions qu’elles apportent, elles me permettent de réfléchir à nouveau au sens possible de ce rêve.
RépondreSupprimerMes premières impressions et réflexions ne sont pas " parole d’Évangile "… tu t’en doutais. ;-)
Amezeg
Merci surtout à toi de t'y intéresser ...
SupprimerJ'ai partagé -un peu plus haut- ce qui me venait à propos des "caisses"...
Mais je suis curieuse de voir ce que ,toi, tu y verrais...