Samedi 25 avril 2015
le rêve favorise la relation entre l'homme et le grand architecte de l'univers.
Pendant le sommeil, l'Ëtre se trouve dans un état très particulier,
les techniciens de la radio diraient qu'à l'état de somnolence
l'individu se situe sur un canal, une fréquence,
qui le met en situation favorable de réceptivité.
Quelques rêves sont porteurs de signaux,
voire de messages destinés directement au rêveur.
Ils lui sont propres, concernent son destin, son évolution.
Le dormeur, pendant ses périodes de rêve, est alors un medium,
c'est-à-dire qu'il se situe au milieu, en inter-médiaire.
C'est donc ces rêves spéciaux qu'il est intéressant d'interpréter
par la vieille cabale, l'ancienne science traditionnelle,
chère aux initiés, spécialistes d'Hermès.
Grâce à elle, il est possible de percer les messages diffusés en filigrane
dans les scénarios oniriques de nos vies nocturnes,
silencieuses et immobiles.
(...)
Sommes-nous des sortes de monstres biologiques ?
la taille de notre encéphale peut le laisser penser.
Cette matière grise gélatineuse, visqueuse, aux multiples circonvolutions,
baignée dans un liquide et protégée par la boîte crânienne,
cache dans ses replis les plus tortueux les mystères de notre savoir,
de nos ignorances, de nos refus, de nos excès,
de notre sagesse et de notre folie.
(...)
Des questions se posent
quant au fonctionnement de notre cerveau :
toute activité cérébrale est le résultat d'une énergie électrique :
le rêve, la pensée sont-ils producteurs de cette énergie
ou sont-ils nés de l'électricité ?
Comment naissent-ils, où exactement et pourquoi ?
Dans les années 1960, des savants soviétiques ont mis en évidence
une sorte de cartographie de l'écorce du cerveau humain,
ils ont ainsi réalisé que les "planches" de celui-ci
présentent des analogies frappantes
avec des planches astronomiques.
Le sage Hermès Trismégiste n'exprimait rien d'autre en son temps
quand il affirmait que
Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas !
(...)
la taille de notre encéphale peut le laisser penser.
Cette matière grise gélatineuse, visqueuse, aux multiples circonvolutions,
baignée dans un liquide et protégée par la boîte crânienne,
cache dans ses replis les plus tortueux les mystères de notre savoir,
de nos ignorances, de nos refus, de nos excès,
de notre sagesse et de notre folie.
(...)
Des questions se posent
quant au fonctionnement de notre cerveau :
toute activité cérébrale est le résultat d'une énergie électrique :
le rêve, la pensée sont-ils producteurs de cette énergie
ou sont-ils nés de l'électricité ?
Comment naissent-ils, où exactement et pourquoi ?
Dans les années 1960, des savants soviétiques ont mis en évidence
une sorte de cartographie de l'écorce du cerveau humain,
ils ont ainsi réalisé que les "planches" de celui-ci
présentent des analogies frappantes
avec des planches astronomiques.
Le sage Hermès Trismégiste n'exprimait rien d'autre en son temps
quand il affirmait que
Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas !
(...)
Bien dormir, c'est bien rêver.
C'est se mettre dans les conditions propices à une relation avec le divin,
paramètre que nous devrions prendre aussi plus souvent en compte
dans toute démarche de recherches et d'expérimentations scientifiques.
Pendant notre sommeil, nous menons une vie parallèle
à celle de nos périodes de veille.
Totalement empreint de mystères,
le sommeil est une porte d'accès sur d'autres mondes,
un voyage aventureux de tous les soirs
ainsi que le disait Charles Baudelaire.
Dormir vient rarement de façon spontanée,
sauf pour quelques personnes atteintes de maladies spécifiques.
Généralement, avant de tomber peu à peu dans les bras de Morphée,
l'individu s'adonne à certains rites, toilette, habillage,
choix d'un livre ou d'un programme télé...
Peu à peu le rythme général du corps -et de l'esprit-
redescend à un niveau plus bas, les fonctions se ralentissent.
C'est alors le moment favorable pour s'allonger et éteindre la lumière.
Il semble indispensable, pour parvenir au sommeil,
que nous abandonnions tous les éléments qui forgent notre personnalité.
Nous abaissons la garde, en quelque sorte.
D'une certaine façon, comme le diraient les spécialistes de l'hypnose,
nous procédons à une régression psychique tout en remontant le temps (*)
jusqu'à notre prime jeunesse, voire au-delà, à l'état de foetus.
La position foetale revient d'ailleurs spontanément pendant le sommeil
chez un grand nombre de personnes.
Tout d'abord, donc , le sommeil est un extraordinaire voyage dans le temps,
EN SENS INVERSE DE LA CHRONOLOGIE NORMALE,
et c'est à retenir, car nous verrons plus tard
l'importance du mot REVER.(**)
Pendant cette période - plus ou moins longue -
au cours de laquelle l'individu s'endort, il perd toutes ses notions de base,
dont celle du temps !
En cela, l'être qui entre en sommeil est au même niveau d'évolution
qu'un enfant ou un être primitif.
(...)
Notons que le sommeil, naturel ou provoqué
(par des drogues par exemple)
entre toujours dans les rites initiatiques
les plus simples comme les plus élaborés.
Le sommeil a toujours été considéré
comme détenteur de tous les mystères de la Création
et aussi de toutes les réponses aux questions que l'homme se pose,
notamment à propos de la quête d'immortalité, notion surnaturelle
que le sommeil n'est pas loin d'atteindre parfois.
C'est un thème récurrent dans bien des contes et légendes
comme La Belle au Bois Dormant.
C'est se mettre dans les conditions propices à une relation avec le divin,
paramètre que nous devrions prendre aussi plus souvent en compte
dans toute démarche de recherches et d'expérimentations scientifiques.
Pendant notre sommeil, nous menons une vie parallèle
à celle de nos périodes de veille.
Totalement empreint de mystères,
le sommeil est une porte d'accès sur d'autres mondes,
un voyage aventureux de tous les soirs
ainsi que le disait Charles Baudelaire.
Dormir vient rarement de façon spontanée,
sauf pour quelques personnes atteintes de maladies spécifiques.
Généralement, avant de tomber peu à peu dans les bras de Morphée,
l'individu s'adonne à certains rites, toilette, habillage,
choix d'un livre ou d'un programme télé...
Peu à peu le rythme général du corps -et de l'esprit-
redescend à un niveau plus bas, les fonctions se ralentissent.
C'est alors le moment favorable pour s'allonger et éteindre la lumière.
Il semble indispensable, pour parvenir au sommeil,
que nous abandonnions tous les éléments qui forgent notre personnalité.
Nous abaissons la garde, en quelque sorte.
D'une certaine façon, comme le diraient les spécialistes de l'hypnose,
nous procédons à une régression psychique tout en remontant le temps (*)
jusqu'à notre prime jeunesse, voire au-delà, à l'état de foetus.
La position foetale revient d'ailleurs spontanément pendant le sommeil
chez un grand nombre de personnes.
Tout d'abord, donc , le sommeil est un extraordinaire voyage dans le temps,
EN SENS INVERSE DE LA CHRONOLOGIE NORMALE,
et c'est à retenir, car nous verrons plus tard
l'importance du mot REVER.(**)
Pendant cette période - plus ou moins longue -
au cours de laquelle l'individu s'endort, il perd toutes ses notions de base,
dont celle du temps !
En cela, l'être qui entre en sommeil est au même niveau d'évolution
qu'un enfant ou un être primitif.
(...)
Notons que le sommeil, naturel ou provoqué
(par des drogues par exemple)
entre toujours dans les rites initiatiques
les plus simples comme les plus élaborés.
Le sommeil a toujours été considéré
comme détenteur de tous les mystères de la Création
et aussi de toutes les réponses aux questions que l'homme se pose,
notamment à propos de la quête d'immortalité, notion surnaturelle
que le sommeil n'est pas loin d'atteindre parfois.
C'est un thème récurrent dans bien des contes et légendes
comme La Belle au Bois Dormant.
(...)
Run Futthark
"Interpréter ses rêves par la cabale"
(*) Au moment même de dormir, l'individu se trouve dans les conditions similaires
à celles qui étaient les siennes avant sa naissance :
il est dans un univers noir, chaud, comme en apesanteur du fait de sa position allongée,
les bruits sont atténués, ses activités générales sont végétatives -
l'Être RE-NAÎT à l'envers !
(**) Le mot REVER se lit à la fois à l'endroit et A L'ENVERS,
c'est un palindrome.
(*) Au moment même de dormir, l'individu se trouve dans les conditions similaires
à celles qui étaient les siennes avant sa naissance :
il est dans un univers noir, chaud, comme en apesanteur du fait de sa position allongée,
les bruits sont atténués, ses activités générales sont végétatives -
l'Être RE-NAÎT à l'envers !
(**) Le mot REVER se lit à la fois à l'endroit et A L'ENVERS,
c'est un palindrome.
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