Vendredi 7 mars 2014
un chef de la nation Pueblo,
les Blancs étaient fous
parce qu'ils prétendaient penser avec la tête,
et qu'il n'y a que les fous pour penser ainsi.
Cette affirmation du chef indien me surprit beaucoup
et je lui demandai de me dire avec quoi il pensait, lui.
Il me répondit qu'il pensait
.
C-G Jung
Aujourd'hui, personne ne fait attention
à ce qui gît derrière les mots,
aux idées de base qui sont là.
Et pourtant l'idée est la seule chose
qui soit vraiment là.
Ce que j'ai fait dans mon oeuvre,
c'est simplement donner de nouveaux mots
à ces idées, à ces réalités.
Considérez par exemple le mot "inconscient".
Je viens d'achever la lecture d'un livre écrit
par un bouddhiste zen chinois.
Et il m'a paru que nous parlions de la même chose,
et que la seule différence entre nous venait
de ce que nous donnions des noms différents
à la même réalité.
Ainsi l'emploi du mot "inconscient" importe peu,
ce qui compte, c'est l'idée qui se trouve
derrière le mot.
.
C-G Jung
.
Il me semble que c’est un malentendu fatal
de considérer la psyché humaine
comme une simple affaire personnelle
et de l’interpréter exclusivement
d’un point de vue individuel.
.
C-G Jung
.
de confusion et de désintégration.
Tout est devenu problématique.
Comme toujours dans les cas de ce genre,
des contenus inconscients se pressent
aux frontières de la conscience,
dans le but de compenser la situation périlleuse
où se trouve celle-ci.
C'est pourquoi tous les phénomènes
qui se produisent dans la zone frontière
méritent d'être examinés soigneusement,
si obscurs qu'ils puissent paraître,
pour y découvrir les germes
d'éventuels arrangements nouveaux.
.
C-G Jung
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"Ainsi l'emploi du mot "inconscient" importe peu,
RépondreSupprimerce qui compte, c'est l'idée qui se trouve
derrière le mot".
Toujours l'immense sagesse de Jung qui a tant contribué à la meilleure connaissance de Soi
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Commentaire n°1 posté par Elisabeth Berger le 08/03/2014 à 17h20