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Qu'est-ce qu'un "Grand Rêve" ? C'est un rêve qui n'est pas seulement personnel, c'est un rêve plus marquant que nos rêves habituels, un rêve aux images fortes, qu'on ne peut s'empêcher de raconter... parce qu'il est de ceux qui concernent tout le monde.
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Le losange est un quadrilatère dont les côtés ont tous la même longueur, mais dont les angles ne sont pas droits (un losange à angles droits est un carré).
A noter que le rhombe est l’ancien nom du losange (du grec rhombos : losange, toupie).
Le losange présente deux axes de symétrie, qui correspondent à ses diagonales, lesquelles se coupent en formant un angle droit. C’est la raison pour laquelle le losange est souvent représenté pointe en haut, contrairement au carré :
Ainsi, couché ou droit, le losange se distingue par l’existence d’un point haut et d’un point bas, formant un axe d’analyse différent de l’axe droite-gauche.
Ce qui rappelle directement le symbolisme de la croix, dont l’axe horizontal peut représenter le monde manifesté ou l’immanence, alors que l’axe vertical traduit le pouvoir divin transcendantal ou encore l’axe du monde.
A la différence du carré, le losange se tient debout, en équilibre, tel une étoile, ce qui suggère l’équilibre des énergies. En réalité, pour se tenir debout, le losange doit tourner sur lui-même à la manière d’une toupie : c’est donc une forme bien plus dynamique que le carré.
Ce dynamisme du losange a aussi été souligné par Victor Vasarely, célèbre artiste plasticien fondateur de l’Op art (art optique – cf. image en tête de cet article). Dans son Manifeste Jaune, Vasarely dit que le losange est l’expression du mouvement contenu dans le plan-carré : de deux dimensions, on passe donc à quatre. Le losange égale carré + mouvement + espace + durée.
Rappelons aussi que Vasarely est le créateur du logo de la marque Renault dans les années 1970 :
Le losange peut être comparé :
Nous allons voir que le losange évoque aussi des objets à trois dimensions.
La forme du losange évoque la double pyramide, assemblage d’une pyramide debout et d’une autre renversée, les deux étant réunies par leur base.
La base de ces pyramides est carrée : leur fondation est donc toute matérielle, comme pour rappeler que la vérité se trouve cachée dans la matière. Mais ces pyramides s’élèvent dans des sens opposés, révélant deux manières de voir les choses.
Le fait que ces pyramides soient indéfectiblement attachées par leur base renvoie à la gémellité ou à l’androgynie : nous avons là les deux faces d’une même pièce, une correspondance évidente entre ce qui semble différent ou opposé, entre le ciel et la terre, le supérieur et l’inférieur, le masculin et le féminin.
La double pyramide possède un sens ésotérique profond, que l’on retrouve en particulier au Louvre, où la grande pyramide de la cour Napoléon fait écho à la pyramide renversée du Carrousel.
Lire notre article sur la pyramide du Louvre et son symbolisme.
La forme du losange évoque un diamant en forme d’octaèdre.
Notons que « losange » se dit diamond en anglais.
Pierre rare et précieuse, le diamant se forme sous le manteau terrestre dans un environnement extrêmement chaud et pressurisé : c’est du charbon (carbone) cristallisé, c’est-à-dire dont la structure est devenue parfaitement régulière.
Matière purifiée, perfectionnée, le diamant laisse passer la lumière. On peut y voir le symbole de la transmutation alchimique : voilà la naissance de l’être nouveau qui a réussi à transformer son plomb en or, son corps en lumière.
C’est aussi la raison pour laquelle le losange a été associé à la résurrection du Christ. Le losange est en ce sens très proche du pentagramme, image de l’homme debout, rayonnant de perfection.
On peut voir dans le losange un sceau de Salomon en formation. Le sceau de Salomon évoque la rencontre des deux énergies cosmiques essentielles (la Lune et le Soleil, l’Eau et le Feu), offrant ainsi une réponse au mystère du fonctionnement cosmique.
Le schéma suivant illustre le passage du losange au sceau de Salomon :
Cette interprétation rappelle aussi la célèbre formule alchimique :
Ce qui est en bas, est comme ce qui est en haut ; et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, pour faire les miracles d’une seule chose.
(Hermès Trismégiste, la Table d’Emeraude).
Tout comme le triangle inversé, le losange évoque le sexe féminin : la matrice, la source de la vie. Sur un plan ésotérique, c’est la naissance d’un être renouvelé, désillusionné, éveillé.
Le losange peut donc être vu comme une porte, un passage initiatique entre le monde souterrain, ténébreux, et le monde d’en haut.
Enfin, le losange peut évoquer :
Article complet ICI
Deux ou trois jours après, alors que je me promène seule le long du canal, je vois soudain à mes pieds quatre cailloux plats incrustés dans le sol, chacun en forme de losange irrégulier et disposés de manière à en former un cinquième. Tout en continuant à marcher, je souris intérieurement en me disant : « Tiens, c’est comme dans mon rêve… ».
Puis je réalise soudain à quel point ce « hasard » est étrange, pour ne pas dire incroyable. Je reviens donc sur mes pas et prends les quatre pierres en photo avec mon téléphone portable. Le soir, j’en parle à mon compagnon et lui montre la photo. Il me fait aussitôt remarquer la présence d’un halo vert sur le cliché. Je regarde mieux et effectivement, un halo vert semble présent. Pour en être sûre, je sors la photo sur mon ordinateur et l’agrandis : pas de doute, un halo vert apparaît bien autour des pierres, alors qu’il n’y en avait pas dans la réalité (voir ma photo ci-dessous).
Je propose à mon ami de m’accompagner le lendemain sur ce chemin, à l’endroit où j’avais vu ces pierres. Nous y sommes allés… mais ne les avons jamais retrouvées !
Voilà ce que Jung appelle une synchronicité. Il n’y a aucun lien causal entre mon rêve et ces cailloux réels trouvés sur mon chemin. Et pourtant, on ne peut s’empêcher d’y voir un rapport de sens évident. Mon rêve s’achevait sur cette question existentielle pour moi : suis-je sur le bon chemin ? Et quelques jours après, je trouve ces pierres sur mon chemin. C’est comme si la réalité me répondait : oui, tu es bien sur le bon chemin, cesse de t’inquiéter ! Le plus étrange reste que je n’ai jamais retrouvé ces pierres, qui semblent n’avoir été là que pour moi. Si je ne les avais pas prises en photo (quelle bonne idée ai-je eue !), mon esprit rationnel en aurait conclu que j’avais rêvé éveillée et mon esprit inquiet que je déraillais complètement.
Des exemples de synchronicités, et de tout aussi saisissants, il en existe des tonnes. Cherchez dans votre mémoire ou demandez autour de vous et vous verrez. Mais, peu de gens en parlent de manière spontanée ou sérieuse, car nous vivons dans un monde tellement rationnel et dominé par le principe de causalité, qu’il ne faudrait pas passer pour crédule ou naïf en donnant du sens à ce qui n’est, selon les cartésiens, qu’un hasard parmi d’autres.
Un sacré hasard tout de même, si l’on songe à la probabilité infime pour que je tombe, quelques jours après mon rêve, sur des cailloux reproduisant la même forme que ceux de mon rêve, qui plus est sur un chemin et avec une photo qui crée d’elle-même un halo vert inexistant dans la réalité, mais renvoyant à la couleur émeraude des pierres de mon rêve… Avouons-le, la probabilité statistique pour que tout cela ait lieu en même temps est proche de l’improbable !
Le problème de la synchronicité est qu’il s’agit d’un phénomène qui n’est, par nature, pas prouvable scientifiquement. Chaque synchronicité est unique. Il est donc impossible de les reproduire en laboratoire et d’en tirer des statistiques. D’autre part, les synchronicités sont éminemment subjectives et ne font sens que pour l’observateur concerné. Quelqu’un d’autre aurait vu ces quatre cailloux sur le chemin n’y aurait accordé aucun intérêt : ils ne faisaient sens que pour moi, en raison de la similarité symbolique de ces cailloux et de ce chemin avec ceux de mon rêve.
Une amie a rêvé un jour d’un éléphant, qui était dans son rêve un symbole spirituel. Le lendemain matin, elle a pris sa voiture et s'est retrouvée coincée dans un embouteillage, juste derrière un camion sur lequel était dessiné un éléphant avec écrit en-dessous : « Louez-moi ! ». Encore une fois, cela n’avait de sens que pour elle (on note au passage l’humour subtil de ces coïncidences signifiantes).
Le silence ! Suffira-t-il de le définir comme l'absence de bruit ? Il faudrait alors bannir tout bruit discordant mais aussi toutes les mélodies qui sont, nous le verrons, lien d'harmonie au divin.
(...)
Le temps est venu de présenter le principal acteur auquel la dynamique de l'imaginaire confie de symboliser le silence : l'oreille !
N'est-il pas paradoxal, pensera-t-on de montrer le bout de l'oreille quand il s'agit de souligner un silence ! Il est plaisant de constater que ce n'est justement pas "le bout de l'oreille" qui se laisse repérer dans le rêve. Il s'agit au contraire presque toujours d'oreilles démesurées, disproportionnées par rapport à leur support. Tel rêveur rencontrera un personnage affublé d'oreilles d'éléphant. tel autre imaginera des oreilles de lapin plus hautes que les arbres de la forêt. A quelle malicieuse intention cette emphase placée sur le pavillon auriculaire répond-elle ?
L'observation du contenu des scénarios de rêve éveillé libre conduit à des conclusions identiques à celles d'auteurs dont la compétence en matière de symbolisme est avérée : l'apparition des oreilles en rêve impose l'idée d'une voix qui n'a pas été suffisamment entendue ! Cette voix peut être celle de la Mère ou de Dieu ! Mais puisque nous avons vu que les supports de la notion d'éternité s'inscrivent dans le dispositif neuronal au cours des trois premiers mois vécus dans le ventre maternel, il n'est pas absurde de penser que les oreilles du rêve espèrent entendre ces deux voix confondues !
L'une des corrélations dominantes de l'oreille est la trompette. ce n'est évidemment pas par hasard que l'une et l'autre des eux images comportent une partie appelée pavillon. Il y aurait ue méprise grossière à se représenter une trompette annonçant à sons bruyants quelque événement onirique. Les scénarios dans lesquels apparaissent les oreilles ne connaissent que les trompettes du silence !
Les hérauts sonnant haut et fort la venue du seigneur, les cuivres généreux des orchestres typiques n'ont rien de commun avec l'instrument que le rêve met en corrélation avec l'oreille. La trompette onirique est, dans ce cas, un instrument silencieux, qui appelle un interprète silencieux. A se laisser porter par l'imaginaire, on est souvent ramené aux sources du langage : Un ange passe ! Comment celui-là marque-t-il son passage ? Par le silence dont il contamine soudainement l'assemblée la plus tapageuse !
(...)
Certains scénarios accréditeront la thèse suivant laquelle cette voix manquante et qui s'affirme par le silence est celle qui émane de la Source divine. Il s'agit toujours d'une voix primitive puisqu'elle est faite des sons qui constitueront les premières impressions du bébé en gestation ou de ceux dont la tradition rapporte qu'ils furent captés, venus du cosmos, par des personnages exceptionnels tels que Thot, Moïse et Bouddha.
Lorsqu'elle privilégie l'apparition d'oreilles animales, la dynamique de l'imaginaire souligne la distance qui sépare l'attitude du rêveur de celle qui lui permettrait d'entendre son être divin. Le développement de la merveilleuse aptitude réflexive de l'homme, sa raison rationalisante, qui paraissent le porter au sommet parmi les créatures vivantes, sont aussi le filtre pernicieux qui le rend sourd à la voix de l'intuition.
Patrice est lancé dans l'espace à bord d'une fusée. Autour de l'évocation du silence et avant d'imaginer des oreilles, il réunit le temps, l'espace, l'infini, dont nous savons qu'ils sont les exposants du Mystère :
L'Ancienne Egypte professait l'idée que tout être créé, vivant ou inerte, n'avait pu prendre forme qu'en fonction de l'existence préalable de son neter.
Le neter était une matrice immatérielle, principe ou agent d'une loi cosmique, existant et agissant selon son propre déterminisme, émanation d'un monde d'absence et de silence. Curieusement, la physique contemporaine admet l''existence de super-cordes, soit des milliards et des milliards d'ondes entrecroisées dans la haute atmosphère et qui non seulement seraient à l'origine des choses créées mais aussi gouverneraient nos pensées et nos actes .
(...)
Des perceptions intuitives de l'Ancienne Egypte aux applications concrètes de la science physique actuelle, tout converge pour suggérer qu'il est un monde de silence, source infinie d'énergies et d'orientations, qu'il nous est impossible de contacter en dehors de nos propres intervalles de silence.
Ce que le docteur Deepak Chopra nomme "l'intelligence non localisée", dissociée des processus de transmission neuronaux, relève du même axe de réflexion.
C'est ici que nous allons rejoindre le "rêve éveillé libre" et son aptitude à donner accès à l'intelligence silencieuse.
Les modes d'expression des rêveurs au cours de la séance sont extrêmement variés. Certaines personnes restent silencieuses plusieurs secondes, parfois une ou deux minutes, entre les émissions d'images. D'autres ont un débit rapide et apparemment ininterrompu. L'impression de continuité du discours est un leurre. Les images, comme les pensées, ne sont que des juxtapositions d'émissions parcellaires que séparent des intervalles de temps. Même si la succession de mots prononcés rapidement crée la sensation d'une continuité fluide, celle-là reste une illusion !
Quelle que soit la durée d'un intervalle de silence, il semble bien que c'est par cette fenêtre ouverte sur l'infini de silence qu'entre l'inspiration venue du mystère. C'est peut-être ce qui fait qu'à la différence d'un mental qui parfois se trompe, nous trompe et ne le reconnaît qu'avec difficulté, la dynamique de l'imaginaire agit toujours dans le sens juste pour la personne.
La parentèle du silence avec l'intelligence étant établie, (voici une séance de rêve éveillé) de William qui illustrera notre propos :
Toute interprétation de rêve n’étant qu’une supposition, on se trouve, devant la production onirique, dans le cas du chercheur qui s’attacherait à l’étude d’événements dont il lui serait impossible de démontrer le sens et la régularité. C’est dans ce but que Jung, comme nous l’avons fait nous-mêmes, a privilégié les séries de rêves, espérant ainsi diminuer l’incertitude. Il en donne les raisons dans Psychologie et Religion :
“Si faire se peut, je n’interprète jamais un rêve isolément. En règle générale, un rêve appartient à une série de rêves. De même que dans le conscient, il existe une continuité, abstraction faite qu’elle est régulièrement interrompue par le sommeil, de même il existe apparemment une continuité dans la suite des processus inconscients. Cette continuité dont font preuve les déroulements inconscients est peut-être encore plus marquée que dans les phénomènes conscients.En tous cas, mon expérience se prononce en faveur de la probabilité que les rêves sont les maillons visibles d’une “chaîne” d’événements inconscients.” (p.58)
A la faveur de la série, il est possible de mieux suivre le discours du rêve et de contrôler les interprétations, les rêves eux-mêmes s’en chargeant par des corrections et des réajustements. Mais, pour comprendre l’intérêt des séries, il est utile d’avoir en mémoire l’hypothèse que Jung formule dans son ouvrage Sur l’interprétation des rêves (p.22,23) au sujet du noyau central de signification.
Cette hypothèse est hardie car elle remet en cause des concepts qui sont les repères de notre vie quotidienne.
L’inconscient ne se soucie pas de notre perception du temps ou de notre idée de la causalité car temps et causalité sont en quelque sorte disloqués.
Dans les séries de rêves qui, nous le verrons, non seulement montrent des structures et des symboles mais aussi racontent une histoire, la chronologie est parfois respectée mais souvent elle se perd.
Nous sommes incités par nos habitudes conscientes à établir une diachronie des rêves et à les relier entre eux par le fait qu’ils nous parviennent l’un après l’autre. Or, pour Jung : Le niveau de l’histoire apparente masque un autre niveau plus essentiel :
“Il n’est pas démontré que la suite réelle d’un premier rêve ne parvienne qu’ultérieurement à la conscience. La série qui nous paraît chronologique n’est pas la véritable série. Un nouveau thème peut très bien apparaître dans un rêve, avant de disparaître pour céder de nouveau la place à un thème antérieur. La véritable configuration du rêve est radiale : les rêves rayonnent à partir d’un centre, et ne viennent qu’ensuite se soumettre à l’influence de notre perception du temps. Les rêves se subordonnent en réalité à un noyau central de signification.”
Que les événements en général sont associés soit, directement en chaînes causales soit, le cas échéant, par une sorte de lien transversal, de l’ordre du sens.”
Jung attire l’attention de son lecteur sur le contresens que ce terme de synchronicité pourrait provoquer.
Il emploie le concept général de synchronicité dans un sens particulier tout à fait différent du synchronisme qui ne désigne qu’une simple simultanéité des événements. La synchronicité, telle qu’il la présente dans Synchronicité et Paracelsica (p.43), caractérise une coïncidence temporelle de deux ou plusieurs événements, sans lien causal, mais revêtus d’un sens identique ou analogue.
Dans ce même ouvrage (p.106), il pousse très loin son idée de la synchronicité jusqu’à la notion d’un “ordre général sans cause ». Mais, peu avant sa mort, dans une lettre datée de 1958 (Cf. Correspondance,V, p. 49), il écrit que ce genre de problème devait être radicalement soustrait à toute spéculation philosophique et que seule l’expérience pouvait aider à avancer.
C’est la plus ancienne et la plus simple définition que Jung donne de la synchronicité, qui nous paraît devoir nourrir une réflexion sur les notions de temps et de causalité, réflexion indispensable dès que l’on aborde les manifestations inconscientes.
On la trouve dans le Commentaire sur le Mystère de la Fleur d’Or (p.114) :
« Une fréquentation de la psychologie des phénomènes inconscients m’a forcé, depuis un grand nombre d’années déjà, à me mettre à la recherche d’un autre principe d’explication, puisque le principe de causalité me paraissait insuffisant pour éclairer certains phénomènes remarquables de la psychologie inconsciente. Je découvris en effet l’existence de phénomènes psychologiques parallèles entre lesquels il n’est absolument pas possible d’établir de relation causale, mais qui doivent être placés dans un autre ordre de connexions. Une telle connexion me parut consister essentiellement dans la simultanéité relative, d’où le nom de “synchronicité”.
On dirait en effet, que le temps n’est rien moins qu’une abstraction, mais bien plutôt un continuum concret renfermant des qualités ou des conditions fondamentales qui peuvent se manifester dans une relative simultanéité en différents endroits selon un parallélisme dénué d’explications causales : c’est le cas, par exemple de l’apparition simultanée de pensées, de symboles ou d’états psychiques identiques.”
Ces simultanéités se produisent dans le domaine onirique lorsque des rêves semblent avoir une relation par le sens avec un événement de la vie extérieure, relation non pas linéaire mais transversale.